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Pourquoi venir? Voici quelques exemples qui peuvent vous amener à venir voir un·x·e thérapeute

Traumatismes

Chaque personne, au cours de sa vie, risque de vivre une expérience traumatique et de souffrir de ses conséquences. Les traumatismes ont cette particularité de pouvoir passer inaperçus et même d’être transmis par nos prédécesseurs (parents, grands-parents). Ils ont aussi la caractéristique de rester latents et de soudainement s’activer. 

Identité

Cette question qui nous vient des plus anciens penseurs est centrale lorsque l’on désire trouver son chemin et s’aimer soi-même.  « Qui suis-je ? » permet d’entrevoir  « où vais-je ? » et dépend souvent « d’où viens-je ? ». Passé-présent-futur se confondent pêle-mêle pour que le présent s’illumine.

Autant de questions existentielles pour se construire. Identité de genre, relation à son corps; l’autodétermination de ce que je suis. 

Emotions – la prise de décision

Les émotions sont des programmes d’action activés continuellement par notre corps, afin de nous permettre d’ajuster notre vie en prenant des décisions. Incomprises, elles sont souvent à l’origine de nos peurs et des blocages consécutifs. Comprises, elles deviennent la seule source valable d’informations ayant la fonction de guider nos pas.

Cognitions, comportements et émotions jouant d’un même corps, il s’agit de rétablir de la clarté en identifiant qui dit quoi afin de déterminer ce que je décide de faire. Qu’en est-il de l’être dans le faire ?

Migration – interculturalité

Nos comportements et nos habitudes sont souvent la conséquence de la culture acquise. L’éducation façonne notre système de valeurs, nos représentations et notre vision du monde.

Changer d’environnement peut représenter un véritable cataclysme pouvant ébranler jusqu’aux fondations même d’un individu. La migration, qu’elle soit physique ou métaphorique, est un défi considérable d’adaptation et de résilience.

Exile – asile – réfugié·x·e

Pour ceux qui ont dû fuir, les expériences traumatiques et le défi d’intégration représentent une source d’insécurité constante.

Sans stabilité, les ressources physiques et psychiques ne sont pas disponibles pour permettre de se reconstruire dans le nouvel environnement.

Crise suicidaire – sortir de la souffrance

Vouloir arrêter de souffrir est à distinguer de vouloir arrêter de vivre. Or, lorsque le mal est insupportable, les deux se confondent.

Une ressource nécessaire afin de sortir du cycle de souffrance et d’impuissance est d’accroître la capacité de résilience. 

Recherche de sens – crises

L’adolescence, la quarantaine, la cinquantaine, etc. autant d’étapes du cycle de vie pouvant amener son lot de questionnements existentiels.

Peuvent être envahissantes son activité professionnelle, sa place dans la société, son rôle dans la famille ou son impuissance ressentie face aux défis du monde. En découle la sensation de se perdre et de ne voir plus que du noir.

Relations

L’art d’être en relation ne s’apprend ni dans les livres (ou rarement), ni sur les bancs d’école. L’éducation en est le vecteur principal et ce n’est pas gagné d’avance. Nos relations sociales ont un impact primordial sur notre bien être.

Quelle formule convient à une relativité épanouissante? Couple, enfants, mariage; relation libre, ouverte, libertine, polyamour. La relation à l’autre est souvent impactée par la relation à soi. Elle résonne subtilement avec la relation à nos parents.

Inconscient et un conscient

L’instinct, l’intuition, les automatismes ou réflexes, l’animalité et la déité, autant de termes étranges peu saisissables. Que faire avec nos rêves qui en véhiculent des images et des ressentis? Que faire avec ces douleurs du corps qui tiraillent et nous contraignent?

Notre inconscient n’a de cesse de communiquer par ces nombreux canaux afin de nous rendre attentif·x·ves à des choses importantes passées encore inaperçues.

N’hésitez pas à me contacter pour une première prise de température.